Monday, March 21, 2011

Fiche terminologique

modèle de fiche
domaines
Générique(s)
L’Art, La Musique
Spécifique(s)
House Music
champs français
Terme principal
Cut, n.m.
Variante(s) en genre

Variante(s) graphique(s)

Abréviation(s)



Synonyme(s)

Variante(s) en genre
 
Variante(s) graphique(s)

Abréviation(s)




Terme(s) à éviter

Variante(s) en genre

Variante(s) graphique(s)

Abréviation(s)


Définition
Un cut est une coupure instantanée d'un disque à un autre.
Contexte(s)

Note(s)





champs anglais
Terme principal
 Cut
Variante(s) en genre


Variante(s) graphique(s)

Abréviation(s)



Synonyme(s)

Variante(s) en genre
 
Variante(s) graphique(s)

Abréviation(s)




Terme(s) à éviter

Variante(s) en genre

Variante(s) graphique(s)

Abréviation(s)


Définition
A cut is an instantaneous switch from one track to another.
Contexte(s)
Indeed, DJHerc says his decision to try DJing came from frustration as a dancer hearing too many DJs make cuts to records in the wrong places.
Note(s)
Source:
Brewster, Bill and and Broughton, Frank. Last night a DJ saved my life: The history of the disc jockey. London: Headline Book Pub., 1999. 210.


Thursday, March 17, 2011

TP 7 - Première étape du projet long : établir la démarche à suivre

Terminologie  2011 - UQAC - Sam Bidaman et Kayla Nadalin

Recherche thématique de: House Music

1. Inventaire d’un vocabulaire (de base ou de pointe) avec équivalents anglais relié à un domaine (par ex. Sports pratiqués au Québec) ou à un sous-domaine (par ex. football collégial)
2. Confirmer le domaine : Art.

3. Le sous-domaine : Musique.

2. Démarche terminologique à expliciter : reprendre dans vos mots la démarche méthodologique à suivre de : Auger-Célestin.

            Premièrement, on doit choisir un domaine.  La décision du domaine peut être une décision administrative ou à cause d’un intérêt personne.  Après ce choix, l’acte de familiarisation par terminologue avec le domaine et les usagers est vraiment important parce qu’ « il serait impensable de se lancer dans un travail terminologique spécialisé sans avoir les connaissances générales sur le sujet »  (15-16).   Ensuite, le terminologue doit déterminer des objectifs spécifiques du projet, comme les besoins des usagers, également que l’état des ressources terminologiques disponibles pour la recherche de domaine.  Le terminologue doit considérer la structuration des notions relatives à des objets du monde réel, même que la dénomination, qui est l’établissement de la relation entre une forme linguistique ( un mot ou un terme) et une réalité (abstrait  ou concrète) par le biais d’une notion.  De plus, on doit créer une liste de sous domaines (ou catégories de notions) à l’intérieur de domaine et montre cette liste en forme d’un arbre de domaine.  On peut trouver les rapports entre la terminologie propre des domaines voisins et la terminologie de tronc commun (celle qui est utilisée dans plusieurs domaines).  Au début de sa recherche, le terminologue doit consulter les sources générales premièrement, comme encyclopédies et après ça, les sources plus spécifiques, comme les bibliographies spécialisées, les films documentaires spécialisés.  De plus, on peut consulter les experts qui ont les compétences professionnelles et/ou expérientielles dans le domaine.  L’établissement du corpus est important parce qu’il s’agit comme la base de la recherche. 
Le déroulement de travail commence ainsi dans deux phases.  La première phase est la phase de recherches, qui est le dépouillement terminologique.  La deuxième phase est la phase de traitement terminologique des deux nomenclateurs provisoires qui ont été établies dans la phase de recherches. Après la recherche des termes, le terminologue doit trouver le classement lexical et grammatical (nom, adjective, verbe, etc.) pour chaque mot.  On doit trouver aussi une définition pour chaque mot qui décrit le sens du mot avec une manière plus précise et claire. Finalement, on doit créer les produits terminologiques, comme les fiches, pour diffuser le projet. 
Méthode de la recherche terminologique de Pavel : source BTT


Pratiques de base en terminologie

§ Délimiter et extraire les unités terminologiques dans une documentation spécialisée sélectionnée selon des critères communément acceptés dans le domaine d'emploi concerné
§ Établir des dossiers terminologiques pour les termes repérés en vue d'élucider les cas problèmes
§ Analyser les caractéristiques des concepts désignés par ces termes et les structurer en systèmes conceptuels
§ Rédiger des définitions concises et précises pour les concepts ainsi systématisés
§ Participer dans des comités de normalisation qui adoptent par consensus les termes recommandés pour chacun des concepts étudiés
§ Créer des produits terminologiques (fiches, normes, vocabulaires, bases de données) pour partager et diffuser la terminologie retenue ou recommandée


4. Définir les objectifs du travail :
a)      Public : Notre public consiste plutôt a une démographique plus jeune.  Par exemple, les jeunes qui aiment aller aux lieux où le House Music en directe.  Notre recherche est aussi pertinent aux DJ’s lui-même qui adopte les termes, techniques et technologie pour créer leur propre musique de ce genre. 
b)      CORPUS à circonscrire : nomenclature : Le nomenclature que nous nous concentrons sur sont des termes de la technologie du DJ, les différents genres et styles de House Music et aussi les références des termes culturelle à la mode pour qui décrire certaines aspects de la scène particulière à House Music.   
c)       Ampleur : Notre ampleur est tous les termes que nous pouvons trouver.  Car c’est un domaine assez nouveau, presque tous les termes en anglais qui existe doit être réparer pour la langue français.
d)     Ressources consultées : Documents, bases de données, lexiques, sources Internet


5. Initiation au domaine de recherche (dictionnaires, encyclopédies, articles et ouvrages de vulgarisation, revues et journaux en ligne, voir Dubuc chapitre 15). Que faut-il consulter? Expliquer ce que vous avez consultées :

Parce que beaucoup de notre champ est nouveau, il est assez difficile de trouver plusieurs sources avec l’information en ce qui concerne la House Music.  La plupart de nos ressources viennent des sites d’internet. 

6. Dépouillement d’une documentation qualitative (faisant autorité et qui représente des documents authentiques). Conserver vos sources pour chacune des attestations de terme.
Music Definitionshttp://3345.com.au/cyclopedia/lev3_music_house_styles.htm
Scratch DJ Tips: Scribble Scratch
http://www.ehow.com/video_4953797_scratch-dj-tips-scribble-scratch.html

7. Constitution de l’arbre du domaine qui va structurer votre recherche de termes et leur classement (celui d’unités terminologiques de divers types :        


 



Tuesday, March 8, 2011

Tableau de synthèse de Réflexions et pratiques relatives à la variation topolectale en terminologie

Réflexions et pratiques relatives à la variation topolectale en terminologie.

La variation lexicale
·         elle soit temporelle, sociale ou géographique (topolectale)
·         la variation lexicale géographique définie les différences qui touchent le vocabulaire d’une langue (sa composition ou son utilisation) en fonction des territoires où elle est en usage (continents, pays, régions, États, localités, etc.)
Un rappel historique
·         à travers l’histoire de la lexicographie française, les auteurs de dictionnaires ont eu tendance à :
o    proposer une version uniforme et monolithique de la langue
o    négliger les particularismes propres au français parlé en dehors de Paris
 (sauf que les auteurs Furetière et Guérin, cette pratique était utilisé jusqu’à la fin des années 70)
·         le français du Québec a été donc généralement perçu et décrit comme une variété régionale du français
o    dans les années 60, l’Office de la langue française partage essentiellement cette vision des choses
·         en 1977, Fernand Sylvain et ses collaboratrices en publiant le Dictionnaire de la compatibilité, qui essayait de normaliser la terminologie comptable en usage au Canada par la présentation d’une terminologie qui était utilisée ailleurs dans la francophonie
·         à partir des années 80, la volonté existe d’augmenter la valorisation des différentes variétés de français hors de France
·         par conséquent, le français du Québec :
o     désormais défini comme une variété nationale de français
o    recevait l’appellation « québécisme » pour les désignations des particularités lexicales, « qui sont tendent déjà à être évalués en fonction non seulement du respect de la grammaire française et du vocabulaire français commun, mais aussi en fonction des pratiques linguistiques des locuteurs québécois. » (p. 6)
·          Fernand Sylvain  disait qu’« il convient que chaque pays conserve ce qui lui est propre, pourvu que la langue ne soit pas fautive » (ibid.) (p 6)
L’approche variationniste
·         les organismes de normalisation internationaux se sont en faveur de la variation géographique dans les travaux terminologiques unilingues français ou multilingues parce qu’il peut permettre de répondre plus adéquatement aux besoins terminologiques des usagers qui habitent dans la communauté qui forme le classement géographique
·         ce travail est important pour les auteurs de vocabulaires spécialisés, de lexiques et de banques de données terminologiques parce qu’il s’accompagne du défi constant de concevoir des outils qui peuvent répondre aux besoins du plus grand nombre de francophones possible
·         l’approche variationniste exprime la volonté de préserver les identités culturelles nationales et encourage la communication internationale en contexte multilingue
·         cette tendance qui renforcée de valorisation de la diversité linguistique est basée sur une volonté de participation à l’enrichissement du français comme outil de développement national, supranational et international
·         il doit le respect entre les experts d’un domaine et les langagiers, dans l’esprit de l’évolution linguistique des différentes communautés
Les difficultés entourant la prise en compte de la variation topolectale
·         le travail terminologique doit :
o    s’appuyer sur la documentation la plus vaste et la plus diversifiée possible
o     consulter les spécialistes de divers domaines comme les ressources du développement
o    disposer de grands corpus représentatifs de l’usage des divers groupes et communautés géographiques (***ces types de corpus ne sont pas toujours accessibles aux terminologues)
Le marquage topolectale
·         il est important d’associer à une variante topolectale un code alphabétique correspondant (à deux ou trois lettres comme ISO suggère, comme le Québec par QC) à la zone géographique où elle est employée (ce qu’il convient de nommer marquage topolectale de terme)
·         Realiter et l’Office québécoise de la langue française se prononce en faveur d’un marquage topolectale souple dans lequel une marque n’a pas de valeur exclusive (donc le terme marqué pouvant circuler ou être utilisé dans d’autres zones de la latinité)
L’importance du phénomène de  la variation géographique
·         l’harmonisation des termes demeure d’ailleurs une idéale toujours poursuivi par la pratique terminologique (c’est-a-dire les termes et les expressions qui sont utilisés à la fois en France, au Québec et dans les autres pays de la francophonie)
o    à ce jour, il y a près de 0,75% de la proportion de fiches diffusées dans lesquelles au moins un indicatif de pays est utilisé pour rendre compte de la variation géographique touchant un terme français
§  donc, la variation topolectale ne touche pas qu’une très petite partie du lexique spécialisé (**il ne faut pas oublier qu’une banque de données témoigne de trois décennies de production terminologique, particulièrement dans les années 70 et le début des années 80, qui étaient moins ouvertes à la variation)
Les cas de non-marquage
·         travail terminologique qui s’adresse à un public panfrancophone, l’absence de marquage peut prendre un tout autre sens
·         dans le GDT et Termium Plus, un terme sans marque topolectale est considéré comme appartenant à l’usage de l’ensemble des communautés géopolitiques où le français a le statut de langue nationale (la Belgique, le Canada, etc.)
·         dans le cas d’un terme néologique, si on a pour l’objectif de le voir d’implanter dans l’ensemble de la francophonie, on ne lui donne pas une marque topolectale indiquant la communauté où le terme a été crée
Les types de marquage topolectale
·         Lorsque la variation terminologique touche clairement un concept donné sur le plan géographique, une indication d’ordre géographique peut être intégrée sur la fiche de terminologie par le marquage topolectale de terme ou par le marquage topolectale conceptuel
·         l’utilisation de ces deux types de marquages est très répandue en lexicographie
Le marquage topolectale de terme 
·         consiste à associer à l’usage d’un terme un certain territoire ou une certaine communauté géopolitique
·         est une idée qui se manifeste quand un concept a plusieurs termes distribués sur des territoires différents et donc chaque terme reçoit une marque topolectale qui correspond à la communauté où il est en usage
·         le Dictionnaire de la comptabilité et de la gestion financière recourt aux marques géographiques abrégées (codes alphabétiques à deux ou trois lettres) pour indiquer qu’un usage est propre à un pays (QC pour le Québec, CA pour le Canada, CH pour la Suisse, etc.)
·         ce type de marquage est souvent le seul qui est mentionné dans les manuels de terminologie
·          n’est pas satisfaisant pour tous les cas de variation géographique, comme il ne permet pas de rendre compte du caractère particulier d’un concept qui correspond à une réalité propre à une communauté donnée
Le marquage topolectale conceptuel 
·         associe un concept traité une « appartenance » géographique
·         vise à décrire « l’extension géographique d’un concept associe à des réalités politiques, administratives, socioéconomiques, matérielles et culturelles qui sont propres à un État, à un ensemble d’États, à un peuple ou à un territoire donné » (p.13)
·         se rencontre notamment à l’intérieur de définitions et dans des notes explicatives
Le marquage intradéfinitionnel 
·         peut être placée au tout début de la définition ou bien à l’intérieur du texte de la définition
·         est tout indiqué lorsque le concept renvoie nettement à une réalité propre à une communauté géopolitique 
o    cette appartenance à une communauté particulière ou à un territoire donné est alors vue comme un trait définitoire
La présence d’indications de nature topolectale dans les notes explicatives
·         La nature topolectale de notes explicatives à des légères différences qui sont perceptibles dans les usages de différentes communautés géopolitiques
Problématique de la variation topolectale
·         en contexte de terminologie multilingue, la position de terminologue influence ses considérations, comme l’utilisation des marques topolectale
La présentation d’ouvrages terminologiques multilingues 

·         considérations fréquents sont :
o    choix de la langue
o    terme principal
o    ordre d’apparition des équivalents dans d’autres langues
o    ordre des synonymes
·         L’OQLF choisit généralement de présenter le résultat des recherches à partir de l’anglais ou d’une autre langue (langue source) vers le français (langue cible)
·         il n’y a aucune règle qui explique l’ordre de présentation des synonymes, mais il y a les facteurs qui influencent l’ordre, comme notions de la fréquence d’usage du terme, sa vitalité, etc.